Jeudi en résidence avec Francesca Ilaria Faiella
Péra, Istanbul : sur la trace des Levantins

Fondation Jan Michalski © Tonatiuh Ambrosetti
Événement
terminé
Gratuite, sur réservation
Dans le quartier historique de Péra à Istanbul – maintenant appelé Beyoğlu – vit une très ancienne communauté d’Occidentaux issue de l’immigration génoise du XIIIe siècle. Orientalisée au cours des siècles, cette communauté est aujourd’hui sur le point de disparaître. L’histoire de ceux qui furent, depuis l’Empire ottoman, appelés Levantins est au cœur du projet de film documentaire de Francesca Ilaria Faiella, actuellement en résidence à la Fondation Jan Michalski. À travers les vestiges de la fondation de Péra, des récits ou des photographies, l’auteure nous fera rencontrer ces Stambouliotes à l’identité singulière, ni pleinement turque ni pleinement européenne, derniers témoins d’une expérience humaine unique et universelle.
Biographie
Architecte, également comédienne et dramaturge italienne, Francesca Ilaria Faiella compte à son actif de nombreux films et pièces de théâtre, et a aussi assisté William Karel sur la réalisation du film pour Arte François Mitterrand, que reste-t-il de nos amours ? (2016). Elle a commissarié l’exposition Casa Garibaldi, une histoire levantine. Ses intérêts se portent particulièrement sur la géographie urbaine et l’histoire orale à travers des documentaires.
Archives

Jeudi en résidence avec Suzanne Doppelt
Lecture-projection « Tarantula »

Jeudi en résidence avec Myriam Wahli
« Le seul art qui vaut est celui qui permet de soigner »

Jeudi en résidence avec Regina López Muñoz, accompagnée de Joseph Ponthus
Autour du roman « À la ligne », questions de traduction et lectures bilingues

Jeudi en résidence avec Anna Bikont
Enquête mémorielle: à la recherche des enfants juifs de Leib Maisels

Jeudi en résidence avec Cătălin Mihuleac
Les Oxenberg & les Bernstein

Jeudi en résidence avec Ariel Dilon
Création et traduction : concurrence de deux formes d’écriture ?

Jeudi en résidence avec Anne Collongues
L’enfance des mots, l’oubli et le piano
